logonew
logonew

Cours pratique de franc-maçonnerie, cahier no 5

Image de couvertureNous n’avons plus de comparaison à faire avec le rite français, qui se termine au G.·. de R.·. C.·.. On serait néanmoins fondé à dire que le G.·. O.·. nous a donne un écossisme francisé. Cela est incontestable pour les gr.·. capit.·., ajoutés par lui, comme faisant partie intégrante du rite français, au trois deg.·. symb.·. avec des modifications et des réductions qui ne sont en réalité que des fusions.

Se chargeant plus tard de l’administration de l’écossisme entier, il en a conservé tout les gr.·., mais il a fait des changements notables aux cahiers, particulièrement dans les gr.·. supérieurs, le 30e entre autres, que l’on a surnommé philosophique pour le distinguer de variantes qui sont en contradiction, les unes avec l’esprit de notre siècle, les autre avec celui de la mac.·. elle-même. C’est là ce que nous appelons l’écoss.·. francisé par opposition à celui que nous quelquefois désigné dans ce Cours, sous le nom de véritable écossisme, comme étant le rite primitif, enfant lui-même d’un pêle-mêle de vieux gr.·. que l’on peut compter par centaine.

Le G.·. O.·. a eu raison de modifier l’ancien écossisme mais ceux auxquels il a confié ce travail, l’ont fait avec peu de soin; car, pour la plupart des H.·. G.·., ils ont retranché à grands coups de ciseaux, sans rien mettre à la place. Nous aurons peut-être aidé à remplir ce vide, en cherchant des éléments d’amélioration dans les rituels tant primitifs que nouveaux.

 
TÉLÉCHARGEZ PDF