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Chimie et alchimie

Image de couvertureSuivi de LE GRAND ŒUVRE ALCHIMIQUE

François Jolivet Castelot était membre des Rose-Croix. Entre 1896 et 1935, il avait fait paraître des traités d’hermétisme, d’alchimie et de spagyrie (l’art de faire des préparations chimiques et médicales en utilisant des principes alchimiques). Cependant, il se prétendait «archimiste» et non alchimiste, c’est-à-dire qu’il se proposait de réussir la transmutation par les voies de la chimie orthodoxe. Nous avons ajouté à l’ouvrage Chimie et Alchimie un petit opuscule intitulé Le Grand Œuvre alchimique qui présente le point de vue de Jollivet Castelot sur l’alchimie.

«Florissante en la vieille Égypte, en la sacerdotale et magique Chaldée, aux siècles très lointains, puis encore enseignée à l’École d’Alexandrie — l’Alchimie fut proscrite avec les Arts Secrets; elle devint Maudite comme eux et se renferma dès lors dans le Mystère des fraternités occultes et hermétiques. Les Gnostiques, les Templiers, les Alchimistes, les Rose-Croix, conservèrent, transmirent l’Alchimie au travers du Moyen-âge, de a Renaissance, enfin des époques modernes. Et aujourd’hui, parallèlement aux autres branches de l’Hermétisme, mieux encore peut-être, l’Alchimie renaît; d’allure très scientifique, elle conquiert les meilleurs esprits.

Les faits expérimentaux, d’ordre industriel, la confirment. Tiffereau, Strindberg, Emmens Brice, fabriquent de l’or. La Néo-Alchimie se constitue auprès de la traditionnelle Alchimie, prête à se confondre enfin en elle. Esquissons donc l’ensemble de la Spagyrique; voyons ce qu’est le Grand-Œuvre, la Pierre Philosophale, posons-en les conclusions pratiques.»

 

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